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18h / déambulation centre ville - départ Maison de la Céramique
GRANDE PARADE D'OUVERTUREUne parade haute en couleurs, musicale, équestre, théâtrale... suivez-la dans toute la ville !Avec la Cie STEPPE THÉÂTRE, la Cie LES SPECTACLES DE L'ETRANGE, les marionnettes de la Cie SAMILDANACH
et SKAMANIANS Fanfare jazz ska
Rythmes suaves et envoûtant des Caraïbes, musique gorgée de soleil, retour aux sources du ska et du reggae... un bon en arrière de plus de 30 ans qui respire la Jamaïque ! Les Skamanians vous invitent dans leur univers magique où chaleur et bonne humeur s'entremêlent allègrement. Effet explosif garanti !>>> + d'infos sur http://www.myspace.com/skamanians
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Accueil musical avec le BIG BAND DU CAEMPerformances équestres avec la Cie STEPPE THÉÂTRE& visuelles avec la Cie LES SPECTACLES DE L'ETRANGEImpromptus musicaux avec SKAMANIANS
« CIRQUEÂ ! »
3 numéros de cirque contemporain présentés par 5 élèves de la 23ème promotion du CNAC (Centre National des Arts du Cirque)> VIGILIA Numéro de mât chinois par Rafaël de Paula> Numéro de fil par Lucas Bergandi> Numéro de bascule coréenne par Rémi Fardel, Jérôme Hugo et Amaia Valle
VIOLONS BARBARESÂ Mongolie/Bulgarie/France
Mélodies enlevées, rythmes galopant avec légèreté, voix suaves et majestueuses... le trio n'a d'inquiétant que son nom ! Dimitar Gougov (Bulgarie) et Dandarvaantchig Enkhjargal (Mongolie), issus des peuples «barbares», réunissent leurs instruments, la gadulka - instrument comportant trois cordes mélodiques et onze cordes sympathiques - et le morin khoor - violon à deux cordes orné d'une tête de cheval - dans une rencontre acoustique inédite qui franchit les frontières stylistiques. Le percussionniste français Fabien Guyot joue quant à lui sur tout ce qui est susceptible de produire du son, allant de tambours africains ou maghrébins aux saladiers et bouillottes. Un voyage vers de vastes contrées lointaines avec cette musique fascinante, énergique et transcendante, aux accents folk, blues kasakh, rock électrique... Sauvage ! Â
>>> + d'infos sur http://www.myspace.com/violonsbarbares et http://www.violonsbarbares.com/
SOUAD ASLA invite HASNA EL BECHARIA AlgérieUne rencontre magique entre tradition et modernité, en clin d'œil à l'Algérie qui fête en 2012 le cinquantenaire de son indépendance.
SOUAD ASLASa voix nous emmène aux portes du désert d'où elle a suivit Hasna el Becharia, mais sa musique, riche en métissages, nous laisse entrevoir le futur... Souad Asla est née à Bechar, dans le Sahara algérien, au coeur de la région de la Saoura. Limitée au nord par les monts du haut Atlas marocain et bordée au sud par les dunes rouges et dorées du grand erg occidental, Bechar est à la croisée de courants musicaux riches et métissés. Ici, la musique bédouine et les tempos berbères se sont, au fil d'une histoire meurtrie par l'esclavage, imprégnés de la musique africaine venue des gnawas. Descendant des esclaves noirs du vieil empire du Soudan, ils sont restés, malgré l'islamisation, les fils et les filles de Bambara. Leur musique est une médecine contre les tourments de l'âme : par la transe, elle exorcise ; par les chants, elle libère. La musique Gnawa est un combat, la revendication d'une identité forte, jamais oubliée. La musique et les paroles de Souad Asla le sont aussi. Après avoir chanté et dansé avec les Diwans de Béchar et Gnawa Spirit, Souad débutera en 2002 avec Hasna El Bécharia « La rockeuse du désert », une fertile collaboration.Sa rencontre à Essaouira avec un maître gnaoui, le Maalem Boujmaà , sera également déterminante et l'amènera à composer des chansons innovantes : « Marchandize » dénonce les abus de l'industrie de la musique, « Jabouna » est une révolte contre les conditions de vie des esclaves soudanais d'où sont issus les gnawas ; « Salamo » est un message de paix, mais nous montre à quel point les hommes ont de la peine à la faire exister... Des chansons qui ont en commun cet esprit rebelle propre au caractère de Souad.>>> + d'infos sur http://www.live-boutique.com/site/-Souad-Asla-.html
HASNA EL BECHARIA  Voilà une musicienne qui dénote à plus d'un titre. Avant de conquérir l'Europe, Hasna El Becharia s'est fait reconnaître dans tout le Sud-Ouest de l'Algérie, dans un univers exclusivement masculin. Là même où la sexagénaire est née, dans la ville de Béchar qui renferme certains des secrets du blues du désert.Fille d'un des maîtres du très codifié diwan, Hasna El Becharia n'a d'ailleurs longtemps joué que pour les siens, refusant de diffuser sa musique au-delà de ses frontières « naturelles ».Pas question même d'enregistrer un disque de peur de travestir le fonds de cette féconde tradition qui rappelle que les voisins marocains Gnaouas ne sont pas de lointains cousins.Jusqu'à ce qu'elle débarque à Paris, en 1999, invitée dans le cadre du festival Femmes d'Algérie : cette épatante chanteuse doublée d'une étonnante guitariste ravit d'emblée l'audience. C'est le début d'une nouvelle histoire qui ne tarde pas à la consacrer sur les scènes internationales, suite à l'enregistrement d'un premier album supervisé par le guitariste Camel Zekri. Au programme de celle que l'on surnomme la rockeuse du désert : une musique de transe rehaussée d'accents blues, des rythmiques qui tournent et retournent. Dix ans plus tard, l'héritière signe un deuxième et très attendu album, Smaa Smaa, gravé dans les pierres de son enfance : un vieux ksar, ces antiques greniers qui jalonnent le désert, là où se conserve la mémoire des sables. Le lieu idéal pour convoquer d'une voix apaisée les saints qui irriguent chacune de ses compositions, pour évoquer cet univers aux limites du sacré et du profane. Comme une révélation sans cesse renouvelée.
>>> + d'infos sur http://www.live-boutique.com/site/-Hasna-el-Becharia-.html